N°311 - Octobre 2024

Le Lien des Cellules de Prière

Éditorial

Les Juifs ne représentent que les deux millièmes de la population mondiale. Ils ont donné la Bible au monde et se sont illustrés par de nombreux exploits scientifiques et artistiques. Malgré tout, ils sont la cible d’une haine irrationnelle. Que se cache-t-il derrière ce mystère?

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Le salut vient des Juifs

Les Juifs ne représentent que les deux millièmes de la population mondiale. Ils ont donné la Bible au monde et se sont illustrés par de nombreux exploits scientifiques et artistiques1. Malgré tout, ils sont la cible d’une haine irrationnelle. Que se cache-t-il derrière ce mystère?

Une vocation universelle
C’est environ 2000 ans avant notre ère que Dieu choisit Abraham.
Comme il l’annonce, la vocation déposée sur cet homme et ses descendants concerne l’ensemble du monde :
« Toutes les nations de la terre seront bénies en ta postérité, parce que tu as obéi à ma voix. » Genèse 22.18.
L’aspect central de cet appel se joue lorsque Dieu demande à Abraham de lui sacrifier son fils bien aimé.
En effet, « le salaire du péché c’est la mort », et son enfant, comme tous les êtres humains, ne peut y échapper. Mais Dieu pourvoit et grâce à la vie et au sang d’un animal, Isaac est sauvé.
Par cet événement, Dieu indique que c’est par sa grâce que les descendants d’Abraham, qui formeront les 12 tribus d’Israël, vont donner le salut au monde.
Mais comment des hommes impurs peuvent-ils porter la lumière et la sainteté de Dieu ? En effet, être choisi ne signifie pas que l’on est parfait. Ainsi, au long de sa longue histoire, le peuple Juif aura besoin d’être sauvé du mal et de la mort.

Le symbole de l’agneau
Environ 600 ans après Abraham, les Hébreux sont violemment opprimés en Égypte. Dieu entend leurs prières et manifeste sa puissance. Par sa grâce, symbolisée par le sang des agneaux, les opprimés échappent à la mort et à l’esclavage et reviennent en Canaan.
Telle une colossale prophétie, ces événements annoncent que pour libérer les hommes de l’emprise du diable, Dieu va offrir sa Vie à la manière d’un agneau.
Sur le chemin qui mène le peuple hors de l’Égypte, Dieu donne sa Parole et dévoile des réalités invisibles.
Par la réalisation du Tabernacle (et plus tard du Temple), il explique que d’infranchissables barrières séparent l’humanité de sa présence.
Seul un souverain sacrificateur, le jour d’un providentiel pardon, peut faire le chemin et emmener les hommes dans le lieu très saint.
Par ces révélations, et de nombreux autres éléments du Judaïsme, des vérités spirituelles essentielles se dévoilent.

La venue d’un Roi de paix
Mille ans avant notre ère, et avec le règne de David à Jérusalem, Dieu annonce l’établissement d’un futur Royaume éternel de paix.
Mais, malgré toutes les paroles et les signes divins, les Juifs se laissent séduire. À la manière des autres nations, ils cèdent à l’idolâtrie et au mal.
Alors, et par une loi universelle, le rejet de Dieu dans les coeurs va conduire les Hébreux à vivre un terrible exil. En -587 la ville et le temple de Jérusalem sont détruits.
De plus, et après des centaines de kilomètres de marches, le peuple est emmené captif à Babylone.
Là encore, c’est par une providentielle grâce que les Juifs peuvent revenir dans leur pays et reconstruire Jérusalem ainsi que son temple, qui abrite la présence de l’Éternel.

La route du Salut
D’une manière globale, et comme l’illustre le tableau ci-dessous, pour offrir son Salut aux nations, Dieu est intervenu dans l’histoire de l’humanité.
À travers ses engagements envers Noé, Abraham, Moïse et David, il a préparé le chemin pour faire venir son salut.
Ce projet nous révèle la place unique des Juifs. Car, que cela plaise ou pas, ils sont ceux que Dieu a choisis pour apporter son pardon dans le monde.
C’est ce qui s’exprime avec force lors de la venue du Christ.
À cette occasion, et en accomplissant la vocation du peuple d’Israël, Marie enfante le sauveur :
« Je suis la servante du Seigneur ; qu’il me soit fait selon ta parole ! » Luc 1.37.
Jésus, qui vient de Dieu, est l’agneau libérateur, le roi de la Jérusalem céleste, où l’homme peut vivre avec Dieu.
Telle une explosion, le big-bang d’une nouvelle création, la grâce apportée par le Christ crucifié s’étend sur le passé, le présent et le futur.
C’est son sacrifice qui sauve Noé, qui pourvoit à la vie d’Isaac, qui libère les Hébreux de l’esclavage, etc.
Après sa venue, c’est sa vie qui, alors que l’Évangile se répand dans les nations, arrache les captifs et les sauve en les réconciliant avec le Dieu d’Amour.

Une vocation douloureuse
Mais, à l’exemple de l’oppression du cruel Pharaon égyptien, pour arracher les proies au tyran, il faut le combattre. C’est cet esclavage universel que décrit l’apôtre Jean : « Le monde entier est sous la puissance du malin2».
En raison de cette emprise diabolique, la terre est le théâtre de terribles batailles.
Et c’est ce qu’annonce la première prophétie de la Bible : Il y aura opposition entre le serpent (Satan) et la postérité de la femme.
Heureusement, celle-ci finira par lui écraser la tête3. C’est ce combat qu’illustre la vision du douzième chapitre de l’Apocalypse : la femme, qui porte les douze étoiles, enfante le libérateur.
Face à elle, et avec l’appui que lui donnent ses serviles adorateurs, le serpent a grossi. C’est donc désormais un redoutable dragon qui cherche à dévorer l’enfant4.
Son projet échoue. Alors, comme il n’a pu anéantir le Christ, le diable tourne sa colère contre la « femme » et la descendance de l’enfant.
Dans le monde, cette animosité s’exprime par une haine viscérale contre les Juifs (la femme aux 12 étoiles) et les chrétiens.
Ainsi, et à travers d’innombrables violences, les hommes dominés par le mal n’ont cessé de s’opposer à Dieu.

La persécution des chrétiens
Dès la diffusion de l’Évangile (par des Juifs), les chrétiens ont été sauvagement persécutés. Durant plus de deux siècles, ils seront la cible des empereurs romains.
Dans des temps plus récents, soit en 1915 : 350’000 Grecs, 250’000 Assyriens et 1.4 million d’Arméniens ont été massacrés lors d’un djihad mené par les armées turques.
Parce qu’ils étaient chrétiens, deux millions d’hommes, de femmes et d’enfants ont été déportés, violés, torturés et mis à mort.
Comme le rapporte l’ONG « Portes Ouvertes » en 2023, plus de 360 millions de chrétiens sont persécutés à cause de leur foi dans 78 pays. Cela a conduit à ce qu’environ 5’000 chrétiens soient tués et que plus de 8’000 soient emprisonnés ou kidnappés.
Par ailleurs, près de 15’000 bâtiments d’églises ont été fermés ou détruits.

La persécution des Juifs
La haine du dragon vise les disciples du Christ, mais elle déverse aussi sa violence avec force sur le peuple qui en est l’origine.
De fait, en l’an 70, soit exactement 40 ans après que Jésus ait annoncé de terribles événements, les armées romaines viennent mater une révolte juive. C’est un massacre !
Jérusalem et son temple sont détruits et les populations sont violemment déportées dans les nations.
Après ces événements et durant des siècles, les descendants d’Abraham vont subir d’immenses violences. Vols, destructions, viols, tortures, massacres... l’inventaire des tourments subis par le peuple qui a apporté le salut du monde est inouï.

Notons que dans une apothéose du mal, de nombreux persécuteurs se réclamaient du Christ (totalement pacifique) et répandaient la haine des Juifs dans les églises.
Les violences atteignent des sommets lors de la Seconde Guerre mondiale.
Pénétrés par la haine du « dragon », Hitler et une multitude de collaborateurs entreprennent d’anéantir tous les Juifs.
Des millions d’hommes, de femmes et d’enfants sont alors dépouillés, frappés, affamés, déportés, fusillés ou gazés dans des usines de la mort.
Ce génocide fait 6 millions de victimes !
Mais la haine diabolique ne se limite pas à l’Europe. Depuis le 7e siècle, elle anime aussi l’idéologie islamique.
Déjà en 627, Mohammed égorge entre 500 à 900 hommes d’une tribu juive. Leurs femmes sont violées et vendues comme esclaves.

Par la suite, et malgré des périodes de plus grande tolérance, les Juifs, considérés comme des êtres inférieurs, vont être persécutés.
Plus récemment, et depuis le siècle dernier, plus de 900’000 Juifs ont été chassés des nations arabes. Les biens et les propriétés qu’ils ont dû abandonner sont estimés à 250 milliards de dollars. De plus, et dans presque tous les pays, ils sont la cible d’exactions et d’attentats.
Par exemple, en France, et durant les 20 dernières années, plus 35 attentats et 10’000 actes antisémites ont été commis, dont plus de 1’700 en 2023.
83 % de ces agressions sont le fait d’arabo-musulmans.
Mais ce n’est pas tout, car la haine diabolique habite aussi l’athéisme et les idéologies marxistes.
Déjà après la Seconde Guerre mondiale, en URSS, Staline persécutait les Juifs. Ils étaient notamment chassés des administrations et des postes à responsabilités.
Les dirigeants communistes qui lui succéderont vont poursuivre ces violences. Ainsi, en 1967, c’est avec de l’armement et des formations données par des Soviétiques que plusieurs pays arabes tentent de détruire l’État d’Israël.
Aujourd’hui, comme l’atteste l’indignation sélective des courants gauchistes, la haine des Juifs va jusqu’à unir les athées aux islamistes !

Une colère diabolique
Comme Jésus l’avait annoncé, le bon grain et l’ivraie croissent ensemble. Du côté du bien, cela s’exprime par de bénéfiques progrès et une diffusion toujours plus large du Salut.

À l’inverse, le développement du mal conduit à une augmentation du chaos et de la haine.  
D’une part, l’animosité du « dragon » s’emploie à séduire et détruire les églises qui portent la lumière du Christ dans les nations ; ainsi et à l’exemple d’Haman5, d’Hitler et d’une multitude d’autres meurtriers, le diable cherche à anéantir le peuple qui a apporté le Salut.
De fait, et après les immenses massacres faits aux Juifs lors de la Shoah, on pouvait penser que l’antisémitisme serait éradiqué. Mais, alors que la plupart des Juifs ont pu revenir en Israël, de nombreuses voix, dont des gouvernements, appellent ouvertement à leur anéantissement.

Progressivement et par l’influence de subtils mensonges, une coalition se forme à l’échelle mondiale.
Cette « floraison » de l’ivraie dans l’apothéose du mal va s’exprimer par le désir de mener une guerre totale contre les Juifs et l’Évangile.
Mais, comme le rapporte la parabole, le temps de patience que Dieu accorde aux hommes est compté. Bientôt, l’ordre de moissonner sera donné et ce sera la fin. Cette échéance se rapproche...

En effet, après un exil de 18 siècles la création de l’État d’Israël est décrétée en 1947 par la Société des Nations.
Vingt ans plus tard, après avoir gagné une guerre en six jours, les Juifs peuvent revenir à Jérusalem.
Pourtant, et comme dans une impasse, ils sont bloqués par un mur. Impossible d’accéder à l’espace où était dressé l’autel d’Abraham et l’ancien Temple.
L’ultime étape, celle de l’accomplissement de toutes les promesses, est en attente.
Mais cette petite distance qui les sépare de la sainte présence de Dieu n’est pas géographique.
Comme l’apôtre Paul l’a annoncé, le peuple qui a donné le salut au monde va finir par y goûter.
« Une partie d’Israël est tombée dans l’endurcissement, jusqu’à ce que la totalité des païens soit entrée. Et ainsi tout Israël sera sauvé... » Romains 11.25.
Bientôt, les yeux des Juifs vont s’ouvrir. Alors, et dans une espérance partagée avec les chrétiens, ils verront apparaître Christ le roi, le Messie. ■

Partages et temps de prière sur ce thème
1. Questions

  • Que représentent les Juifs pour vous ?
  • Pourquoi l’Église doit-elle les aimer et les soutenir ?
  • Comment leur témoigner de l’amour du Christ ?

2. Prières pour les Juifs

  • Que l’Esprit les soutienne dans leurs épreuves.
  • Qu’ils aient la révélation de l’oeuvre de Christ.

Aimer les Juifs
Comme tous les hommes, les Juifs ne sont pas irréprochables et des injustices sont notamment commises contre des Palestiniens en Israël.
Mais, comme on peut l’observer dans les médias, beaucoup d’informations sont instrumentalisées et visent à susciter la haine des Juifs.
Au fil du temps, alors que de plus en plus de nations veulent la destruction des Juifs, les chrétiens et les églises sont invités à exprimer à ceux-ci de l’amour et de la reconnaissance.
Avec l’emprise toujours plus grande des séductions, les chrétiens seront bientôt les seuls amis qu’il leur reste.

Notes:
1. Ils ont reçu 137 fois plus de prix Nobel que les autres.
2. 1 Jean 5.19.
3. Genèse 3.15 (voir aussi Luc 1.46-55, 2.25-32).
4. Hérode sera au service de ce plan diabolique : Matthieu 2.
5. L’ennemi des Juifs en Perse (livre d’Esther).

 

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Je proclame...

« Je proclame, je décrète, j’annonce... » C’est en commençant par de telles paroles que de nombreux prédicateurs font des promesses à leurs auditeurs.

De grandes prétentions
Comme on peut l’observer lors de cultes et sur les réseaux sociaux, de nombreux chrétiens distribuent des promesses à large échelle. Selon eux, ils disposeraient d’une autorité capable de débloquer diverses situations.
« Je proclame un réveil, que des barrières vont tomber, que l’argent et le succès vont venir, etc. »
Tout en croyant fermement aux miracles et à la puissance de la prière, nous devons éprouver cette manière d’agir à la lumière de la Parole.
Dans la Bible, aucun homme de Dieu n’a distribué des promesses à tout va. Ainsi, et lorsqu’une parole d’autorité est donnée, elle s’adresse à des personnes et à des situations précises.
Notons que si la prédiction ne s’accomplissait pas, le « prophète » était coupable. Son inspiration charnelle pouvait même le conduire à la mort1.
Par ailleurs, dans les déclarations et les prophéties bibliques, on peut observer que c’est avec une très grande prudence que le « JE » est utilisé.
De fait et dans une saine humilité, la proclamation d’un miracle se fait en se soumettant à la volonté de Dieu.
Alors que la mode, du « Je proclame » prend toujours plus d’ampleur dans de nombreuses églises, nous devons ramener leurs auteurs à la réalité.

Servir avec humilité
Il y a deux manières de détruire un don spirituel. Le premier, c’est de nier son existence. Le deuxième, et le plus sournois, c’est de le remplacer par une copie charnelle et prétentieuse.
Proclamer quelque chose par audace et sans un réel appui de l’Esprit détruit les trésors de Dieu et de l’Église.
En effet, ceux qui font face à des problèmes et à la souffrance désirent évidemment obtenir un miracle.
Si l’orateur, qui se réclame de Christ, le proclame, ils vont s’en réjouir. Mais, si cela ne s’accomplit pas, ils perdront confiance et pourront même en arriver à renier leur foi.
Le monde a besoin d’hommes et de femmes qui soient sensibles à l’Esprit. Cela s’exprime par une gestion avisée des paroles et en vérifiant que les prophéties s’accomplissent.
Dans la Bible, c’est l’exemple que nous donnent les hommes de Dieu. Leurs déclarations pesaient lourd. Ainsi, quand Élie proclame la sécheresse devant Achab2, cela s’accomplit.
C’est aussi cette autorité divine qui s’exprime lorsque l’apôtre Pierre dit au paralytique « Lève-toi et marche »3.
C’est par des paroles et des révélations réellement inspirées que l’Église peut être le canal de l’autorité du Christ. ■

 

Notes :

1. Deutéronome 18.20-22.
2. 1 Rois 17.1.
3. Actes 3.6 (un miracle comparable avec Paul : Actes 14.10).

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Pressions idéologiques (LGBT)

Durant des siècles, et grâce à la Bible, l’Occident a pu entendre l’Évangile.
L’oeuvre du Christ et l’invitation à aimer son prochain ont libéré les coeurs. Ces fondements spirituels et moraux ont donné du sens à la justice et les sociétés ont pu se construire.

Rejet de Dieu = confusion sexuelle
Malheureusement, aujourd’hui et dans une folle ingratitude, une majorité de personnes rejettent toutes références à Dieu. Séduits par des idéologies athées ou ésotériques, les médias et les institutions éducatives et juridiques sont aspirés par des spirales destructrices.
Le couple, créé à l’image de Dieu, en est l’une des grandes victimes.
C’est ce processus que décrit le premier chapitre de l’épître aux Romains : en chassant Dieu, l’homme est condamné à subir l’arrogante folie humaine.
« Se vantant d’être sages, ils sont devenus fous » Romains 1.22.
À la destruction de la pensée s’ajoute celle de l’âme. Et cela conduit à la perversion des désirs sexuels.
« Dieu les a livrés à l’impureté, selon les convoitises de leurs cœurs » Romains 1.24.

L’éloge de la complémentarité
Dès les origines et pour accomplir son projet, Dieu a créé l’univers et les espèces vivantes avec des dualités.
Dans l’homme et la femme, ce partage s’exprime par des spécificités biologiques et psychologiques.
Notons que ces différences sont écrites dans chacune des 30’000 milliards de cellules qui forment notre corps !

Lors de l’union d’un couple, ces parts s’assemblent et peuvent donner la vie.
Mais ce n’est pas tout, car grâce à une judicieuse répartition des capacités données à l’un et à l’autre, les parents pourront exprimer l’amour divin par l’exercice de leur ministère paternel ou maternel.

Des pressions colonialistes
Aujourd’hui, en occident, le rejet de l’ordre établi et la confusion des désirs sexuels prétendent être la norme et cherchent à s’imposer.
Cette dictature « Woke » n’épargne pas les églises et plusieurs dénominations internationales exigent que l’on célèbre et bénisse les mariages homosexuels.
Comme la culture africaine (et l’Évangile) s’y opposent, les dirigeants occidentaux utilisent le levier de l’argent pour établir les revendications LGBT+ dans leurs communautés.
Ces pressions, visant à imposer l’idéologie occidentale déviante aux populations africaines, sont une nouvelle forme de colonialisme.

Conclusion
Tout en accueillant avec amour les homosexuels, les églises ne doivent pas céder à ce chantage.
À l’inverse, et face aux dérives du monde, leur vocation est de valoriser la merveilleuse polarité que Dieu a placée dans le couple.
C’est sur le projet qui unit deux êtres différents que se dépose la bénédiction ; l’amour et l’union d’un couple forment « une image de Dieu » dans l’humanité.■